Trierweiler déchirée entre la passion de l’être aimé et celle d’un pupitre de première dame.
La bataille était rude, tout le monde le savait, sauf elle. Elle est concernée. L’intrigue est de taille, elle est journaliste. Non mariée. Et, un homme, fou d’une autre femme, a fait d’elle la Première Dame. Pour mieux cacher l’affaire. La journaliste trop occupée dans son rôle hors du commun, travaillait tard pour le plus grand magazine qui porte le nom de la ville. Une partie de l’édition s’était transportée à l’Elysée. Une marque de commerce inédite pour le grand magazine. Il fouillait ailleurs au palais, que dans la vie du locataire officiel. Le président. Le drame va s’éclater au grand jour, à la manière américaine, cette république y a pris goût depuis le scénario du même genre, vécu avec le l’ancien locataire. L’un aimait les fortes escortes, l’autre sombra dans le piège de l’escorte réduite. Il se croyait invisible. Mais, un photographe aura tout vu, patient, il s’est payé les nerfs pour se les ronger. Il allait tout simplement provoquer la chute d’une étoile à Paris. Donc Paris qui cogne.
Valérie rentra dans le coma, Valérie piqua une crise de nerf, Valérie fit une légère dépression. La rumeur allait bon train. Mais, le grand magazine n’a rien vu venir, croyant débusquer par la voie de Valérie, les trésors cachés jamais dévoilés d’une république héritière de biens de cruautés royales ancestrales. Valérie est évacuée par la SAMU, perdra-t-elle de fait sa position de journaliste, car l’affaire lui est passée sous le nez. Si l’étoile chute, ce serait le cas de dire : << les oiseaux se cachent pour mourir >>. Paris quand même et Paris qui suit. Paris !
Laferrière confondu entre la montée d’une étoile et les diamants sont éternels. << Voir les comédiens…, voir les magiciens >>, j’ose interférer dans l’affaire Aznavour, et rajoute, voir les écrivains << qui arrivent bien >>. A entendre les jaloux, c’est l’Académie qui a baissé d’un cran. A lire la critique, Haïti et le Québec ont gagné. Se fier par contre à l’institution, il y a tout simplement un immortel. En effet, l’affaire se passe à Paris et j’ai dû faire un choix. Il n’y a pas de hiérarchie dans les thèmes, d’ailleurs l’un est au féminin, ce qui explique le positionnement traditionnel : Trierweiler avant, Laferrière au masculin, après. Laferrière est donc fidèle à sa démarche : << comment >> se faire dans la francophonie << sans se fatiguer >>. Il a fait école, ce sera cette semaine-ci avec Léopold Joseph son ancien patron : << comment >> recevoir Dany en trois jours << sans se fatiguer >>. A New York, bien sûr ! Sachant d’ailleurs que Paris se retrouve à New York. Haïti s’y trouve, le Québec aussi. Donc << Paris merveille >>. Toujours Aznavour.
Laferrière rentra dans le << trémolo >>, Laferrière piqua du nerf, Laferrière fit une haute pression. La clameur allait bon train. Mais, le grand magazine n’a rien su comprendre. Croyant débusquer par la voie de Trierweiler, les trésors cachés des Trois Mousquetaires, d’une république héritière d’un passé volé. Laferrière est arrivé par la grande porte, va-t-il prendre de fait, sa position des Alexandre, car l’affaire lui est sous le nez ? Ce serait le cas de dire que : << Paris certif >>. Aznavour quand même.
Le dénouement Le pays est sous surveillance et la sécurité du président coûte aussi cher que la vie de la première dame. Des dépenses futiles pour un pays en faillite, puisque d’une part, le président était à découvert, par sa faute. La première dame était à couvert, pour sa chute. Le peuple commence à comprendre la débauche qui avait commencé avec les esclandres de l’ancien chef candidat, du parti, ce qui a abouti à l’histoire de l’autre. Paris sinécure. Ça c’est de moi. La surveillance laisse à désirer au point qu’un Pivot de la grammaire n’a vu venir une citadelle éloignée de l’indépendance, ce qui serait en fait une grande victoire pour l’auteur qui présente le Chevalier de St. Georges. Ce serait le cas de dire aussi : << Paris gamberge >>. Une fois de plus Aznavour. Aznavour pour nous dire : << Paris vingt berges >>. Oui, Paris est un fleuve de tous les courants, l’Ecole Nationale de Paris d’ailleurs, et, de tous les tourments, comme dirait l’autre : << poètes, vos papiers >>. Et pour finir, Aznavour pour conclure avec le président : << Paris débauche >>.
L’histoire si elle résume la chute d’une étoile en tant que femme, pour une autre étoile, une autre femme, elle est surtout le drame de l’étoile du magazine qui portait le nom de sa ville. Pour ne rien savoir de ce qui se passait dans la ville même. Paris ! Elle rappelle celle d’une autre journaliste qui était aussi la dernière à savoir que son homme, un gougeât, la trompait, avec des putes en série. Paris New York l’a su. La question se pose dans l’entracte, puisque le film n’est encore dégradé. C’est quoi le journalisme de magazine dans cette ville où des femmes du métier se contentent de << Paris vin rouge >> d’un politicien en pâture qui se voit dans << Paris décomposé qu’on viole >>. Si l’académie de la langue du pays se trouve aussi dans cette ville, il y a lieu évidemment de s’interroger si les institutions sont en chute libre. L’arrivée de Laferrière comme immortel dit carrément NON. Mais, << Paris d’hier et de toujours, Paris vingt siècles de jeunesse, Pour tous tes amants, tes maîtresses, Tu restes le grand amour >>. Paris Match aura une autre plume. Orageuse, arrogante, mais une plume de << Paris aux urnes prophétiques >>. Bravo Paris !
Si je me suis installé sur la route du cinéma, courant après un sans faute, pardon d’avance ! Si j’ai copié. J’ai alors copié le meilleur. Je ne suis donc coupable. A ce rendez-vous, je n’y suis à celui de la chute d’une étoile. J’ai pris rendez-vous là où << les diamants sont éternels >>. C’est ma façon de rendre hommage au Dany des rencontres Rue St. André Mtl. A toi Dany ! Merci d’y croire ! dan@danalbertini.com