Les discussions sur la réforme du Conseil de sécurité au sein de l’Assemblée générale durent depuis près de deux décennies, sans que des progrès, même minimes aient été enregistrés.
Bien que le sujet soit évoqué régulièrement par les grandes puissances –et en premier lieu par celles qui ont un siège permanent assorti de l’exorbitant droit de veto, le sujet reste « tabou. » Elargir le nombre de membres permanents, n’est pas une priorité sur l’agenda bien au contraire : « Nous ne parvenons pas à obtenir un consensus sur des dossiers brulants, alors imaginez si nous étions encore plus. Cela mènerait à plus de blocage, » déclarait il…