DIPLOMATIE INTERNATIONALE ET SOCIÉTÉ, par Dan Albertini
entre (). Winnipeg un Congrès des Libéraux du Canada, Trudeau fourbit ses armes. Entre pouvoir et savoir être Libéral sans obligation financière, libéraliser le Canadien pour gagner en membre, vision d’avenir du pouvoir, conversion de masse par assimilation. Fermons les ().
Je ne sais commencer cet article que par une terrible citation de Howard Hughes : « je peux acheter n’importe quel homme au monde ». Tirée de l’ouvrage de Charles Higham : La Vie Secrète de HOWARD HUGHES. Il y en aura d’autres certes, puisque nous nous exposons au contenu de CITIZEN HUGHES, ouvrage du journaliste indépendant, Michael Drosnin. Les considérations vont possiblement effrayer le lecteur schizophrénique de 1984-George Orwell, surtout quand il apprendra du livre de Donald Trump, The Art of the Deal. Gwenda Blair prévenait déjà l’an dernier, dans DONALD TRUMP master apprentice. Le candidat fait donc peur car il sait apprendre, peut-être a-t-il lu ceci : « Il n’y a aucune contradiction entre accepter de l’argent de Hughes et servir les intérêts de la CIA et de l’État, […], les intérêts de l’organisation Hughes sont tellement mêlés à ceux des États-Unis qu’ils en deviennent presque symboliques », (Raymond Price assistant spécial du président Richard Nixon, 1976), tiré du même ouvrage de C. Higham sur H. Hughes. Hillary nous dit-elle de Trump : « une menace pour les États-Unis » (traduction de l’édition montréalaise 24 Heures), parce que candidate ou sénatrice dans le temps, elle aurait reçu de l’argent de Trump ? Ou, la CGI de son mari Bill ? Puis, au mariage de DT en 2005, pourquoi s’était-elle affichée à ses côtés ?
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Sur quoi alors se base fondamentalement la peur pathologique de l’autre par rapport à la superpuissance américaine quand Hillary nous dit que Trump représente « une menace pour les États-Unis » ? Car elle sait que l’Américain n’est pas soumis à cette peur. Puis, y a-t-il une relativité de la peur puisque candidate, la femme à Bill tente de la semer dans l’esprit des gens, quand nous savons tous que le pouvoir exercé par le Congrès est souvent une botte de plomb pour le président en fonction ? Cette même Hillary en 2003, était en faveur de l’invasion en l’Irak, tandis que le citoyen démocrate refusait cet engagement dit-on imposé par les mensonges de GWB ? Évacuons d’abord la peur des guerres en cours car nous savons tous, une fois de plus, à l’image de la réplique américaine au Japon de Pearl Harbor, que 9/11 ne serait jamais resté sans réponse. Une nuance cependant, l’ennemi n’a pas subi le nucléaire mais une occupation brutale différée. Est-ce là un syndrome que l’on retrouve depuis le Saint-Empire romain germanique, chez les puissants ? Si oui, l’excès ne serait donc américain en ce sens, Hillary ne saurait s’en démarquer ni se prétendre moins guerrière. Sa réaction à brule-pourpoint ne vient certainement pas de Bill, un indice qui démontrerait de préférence la nature cachée de la candidate qui feint la diplomatie dans le seul but d’avoir elle-même le doigt sur le trigger. Plus que l’Amérique, ce serait le monde entier qui serait sous menace avec une telle attitude lunatique avérée de Hillary. Ce ne sont les méthodes de Bill qui se voit là, ignorer au préalable. Ne sombrons dans la peur pathologique maniée contre ce Yankee de 6’3.
Deuxio. Trump s’est-il dévoilé dans The Art of the Deal, au point d’effrayer des membres d’un Congrès qui l’auraient déjà sollicité, ou bénéficié de ses donations, pourquoi ? Mieux que Nixon réhabilité par Ford, Trump saurait qui est chaque individu en face de lui, avec le pouvoir de véto du président. Encore mieux que Howard Hughes dans sa déclaration. Faisons une extension parallèle. Un indice Martelly en Haïti, car il sera de retour plus tard, ou, avec d’autres corrompus tels…, bref taisons cet aspect car Sarkozy serait encore sous enquête. Novembre 2016 sera à cette enseigne. Si le coût sera en émotions fortes, sera-t-il autant en sommes astronomiques jamais évoquées. Question : l’Amérique sera-t-elle affaiblie en conséquence ? Non, les affaires se poursuivent impromptues.
Hillary. Sa peur se baserait-elle sinon sur le fait, comme on dit aux États-Unis the tallest candidate win, chez un peuple amant du gigantisme. Trump 6’3 contre Hillary 5’7, dans ce pays de l’influent Howard Hughes 6’3. C’est ici un démenti formel de la déclaration Hillary. Trump a-t-il fait école chez Howard Hughes ?
Remontons à toutes ces théories sur le vol rue Romaine, que ce soit de la CIA, du FBI, de la Commission sénatoriale, du Bureau d’HH, sans oublier les issues diplomatiques onusiennes et d’espionnages russes. De la mafia aussi. Si l’on fouillait au hasard dans les notes personnelles de ce candidat qu’est DT, aujourd’hui. Si le scénario HH (P.15-16), sur l’auto cambriolage arrivait à se reproduire en DT pour laisser couler certains noms circonstanciels. Gardons-nous des épithètes. Ne serait-il pas normal de décrire Donald Trump, pour l’adversaire inoculé de (…), comme un pestiféré avant une brusque gate, autre zipper que water, etc ? Entendons-nous, cela ne rend pas Trump un homme sans tâche mais les théories pleuvent comme les accusations en procès d’intention. Mais, théorie contre théorie, si la CGI alimentait aussi le débat afin de ruiner les plans secrets d’Hillary, qui mieux que Bill les saurait ? Sa survie en dépendrait directement, car, répétons-le, il y aurait conflit d’intérêts entre le nouvel émissaire de la présidente et le patron de la CGI. Les accusations de DT à l’égard de Bill ne le dérangent personnellement, nullement, il y a déjà survécu à cela lors du Zippergate, en plus d’avoir été réélu plus fort au point de se faire regretter au départ de la Maison Blanche. D’avoir créé la CGI qui concurrence tant d’exercices onusiens de levée de fonds.
Ici, les théories de complots dans l’exercice de salissure électorale ne souffriront d’anémie. Élaborons, imaginons Hillary présidente, prémonition du cinéma américain, scénario du président Palmer, noir, qui fonda Taylor dans 24-H Chrono. Où, Logan ancien président est en cause, une affaire russe de haute trahison. L’essence traduit là le rôle d’une présidente comme action impérative. Pensons. Bill former president disponible, first gentlemen en mission à l’étranger alors qu’il garde la CGI. Le scénario Medvedev-Poutine reconduit, Vladimir veut appuyer l’action de la CGI, soit en Haïti, soit en Afrique. Ou, les Allemands dans cette affaire de plantation de bananes, d’un hypothétique président Jovnel Moïse, tandis que Dole y serait intéressé par les bons services de la CIA appuyé par l’Administration qui favorise la pleine action du Patriot Act. Qui de Bill ou du first gentlemen l’emporterait, comment départager ? C’est là l’objet d’une simulation que la plupart des Think Tank spécialisés des grandes universités du pays feront quand le citoyen ordinaire issu de l’immigration ne pensera qu’aux rides tardives de Monica, de Paula Jones. La machine médiatique américaine fonctionnera à fond pour alimenter le consommateur, quand Queens Village d’une part chez le Hindi verra différent du Syrien en lutte chez Bachar. Et, d’autre part, l’Haïtien francophile du village regardera à travers la loupe de Paris dépassé par ses affaires internes comme à l’époque de la perte de la Louisiane. Que dire de comprendre l’élection américaine par le p’tit Ramonet du Monde-Diplomatique, perdu entre reproche et réalisme. Mieux, s’il est de gauche en Amérique, il ne peut plus créditer des défunts de Haiti Progrès, mais, lit H-O en salle fermée. S’il est d’Haïti en Marche, il ne comprend plus le maître exilé de Mélodie FM mais lit Haïti Observateur aussi pour s’alimenter. Puis le Pedro.
Mais de tout ce monde du Village, sait-on réellement qui est Donald Trump l’Américain candidat dans un système où le Grand Électeur parlera en novembre prochain ? La question doit se poser dans toute sa rigueur quand en Floride, Monestime sera ré-estimé sur sa capacité d’avoir opéré le bon choix en Hillary ou, dans son investissement politique. Gageons que si vous interrogez Marc Vilain qui avait quitté les Bush pour la CGI, il ne saura non plus étaler ses convictions dans un pays où Donald Trump le fait à la même enseigne que la candidate Hillary Rodham Clinton. Nonobstant une tragédie qui favoriserait un Bernie comme joker.
Comprendre novembre 2016 de Trump par Howard Hughes c’est donc quoi aux yeux de la machine qui se dresse contre lui ? Howard Hughes n’a été aussi loin que Trump tout en ayant fait ce que DT ne fera, mais cela fera-t-il de celui-ci un président d’abord, un bon président américain ensuite ? Il ne m’appartient pas de juger ou d’apprécier la réalité des choses, les indices d’une lutte farouche jamais livrée auparavant sont bien installés. Réalité qui campe Trump différent de Hughes après le cambriolage de sa maison. P.404, je cite : « Howard, il faut que vous admettiez que Rebozo, le président et même Kissinger ont de plus en plus de mal à comprendre pourquoi il est impossible d’avoir un entretien avec vous ». Là nous sommes en pleine crise dont le Watergate en liste, avec Rebozo un con à transmission, dans l’impasse avec un homme qui en sait trop. Ou, qui a trop de pouvoir tandis qu’il ne possédait qu’une fraction de la fortune de Bill Gates. Président, Bill lui, avait appris à éviter cet effet Gates, forçant Microsoft. La fragilité et la frivolité chez Hillary sont alors tellement évidentes.
J’ai déjà publié de Trump in The States à Trumping The World. L’effet en quelque sorte est déjà en marche, si Hillary aurait dit vrai en termes de « menace » pour les États-Unis, elle devrait ‘’présidente’’ sévir contre DT. Ce qui est loin le cas, alors qu’elle devra défendre les intérêts de cet Américain à travers le monde. Une fois de plus, simulons Bill de la CGI pour son compte, face à une donation de Trump pour l’éducation ou pour la santé, ou pour un investissement d’un méga hôtel en Haïti. Le first gentlemen serait-il aux ordres d’une présidente qui l’aura engagé pour l’Amérique ou, selon le code de ses intérêts qui y vont plus loin qu’un mandat ? Trump serait tout aussi influent en Amérique malgré Hillary candidate incertaine. Trump qui se dit aujourd’hui prêt à dialoguer pour des solutions diplomatiques et que cela devienne une critique électorale ! Ce qui sous-entend qu’Hillary présidente, fermerait des portes [Obama-Téhéran], ce qui renforcerait l’état de guerre stupide.
Ce qui va suivre soulève une question incontournable : si donation il y en aurait eu en faveur d’Hillary, l’argent serait-il arrivé à destination ou, serait encore en route ? Je cite P.349 : « Je me demande parfois si Nixon se rend bien compte de la donation dont il a bénéficié. J’ose espérer qu’elle a bien été effectuée, en tout cas, à moins que quelqu’un ne l’ait oublié en route ». D’où, la fureur des uns et des autres qui se dessine croissante.
Le paragraphe suivant dit ceci : « Non, personne ne l’avait oubliée. Pendant que Hughes se lamentait, Bebe Rebozo et Richard Denner acheminaient enfin les 100 000 dollars vers leur destination finale ».
Nous nous référons à cette photo lors du mariage de Donald Trump avec Melania en 2005, Bill et Hillary posaient avec lui en avant de scène. Quelle fréquentation pour une potentielle candidate à présidente dont le mari a été président à (2) reprises, qui elle a été sénatrice de New York, mais ne se souciait guère de ce que représentait Donald Trump comme danger potentiel dans l’adversité électorale.
À la lueur de la question de Howard Hughes sur l’appréciation de Nixon, il faudra croire que le potentiel président des États-Unis que représente Donald Trump ne se privera de ses artifices ni de ses atouts. Et celui qui connaît la finesse diplomatique de Bill dont l’arme fatale secrète s’est avérée la séduction, ne se retrouvera fort probablement pas dans la méthode Rodham au dictionnaire-bullet en bibliothèque, face à quelqu’un qui pourrait causer beaucoup de dommages à la CGI, par la suite et dans le présent. Bien que Bill président eut appris les décisions made by CIA. Bill ne peut être que pro Trump dans le fin fond de son américanisme.