RENÉE MARTEL : QUAND JE M’INSTALLE POUR RÉFLÉCHIR.
SUR LA ROUTE DU CINEMA, Par Dan Albertini Ou, le courage de relire sa vie, sans caméra, sans mise en scène, sans fin Depuis quelques jours, c’est l’adrénaline brute qui parle. Plus besoin de simuler, pour créer, d’inventer des situations pour générer l’ambiance. Pour moi c’est la pression accrue au quotidien. Je stimule une pression accrue depuis mon retour le 12 avril dernier, il me faut créer un cinéma haïtien avec ma démarche fétiche. Comme ma recette fétiche pour le…