Entre (). Mettre la charte Drainville.Qc à l’épreuve près du Mûr des Lamentations, sans kippa, pour une diplomatie québécoise, quelle tentation dirait Blair.ca ! L’autre pas vers une tentation totalitaire. La domination mondiale exclusive, telle est exprimée par l’ancien premier ministre français, Michel Rocard, invité en conférence au Club Suisse de la Presse. Il promouvait la gouvernance mondiale : le monde n’est pas << régulé >>. De quel monde ? Si on assumait d’abord des responsabilités au simple niveau de la francophonie, de la langue. Que proposerait Rocard-Drainville, dans ce qui suit. Concrètement Svp ! Fermons les ().
Globalité de la langue A l’ONU c’était la proposition Bidault (Georges) soutenue par le vote haïtien. L’adoption du français comme langue de travail est devenu un fait en péril. A l’OEA, c’est carrément Haïti et le Canada, en plein Washington. La CARICOM, c’est exclusivement Haïti. Dany Laferrière à l’Académie Française à Paris, ne peut être un simple fait initiatique de culture, pour un homme. C’est une diplomatie majeure. L’Amérique des chaires d’études internationales sur le français doit le reconnaître. Washington doit l’accueillir, qu’on s’entende à DC. Pour l’OEA, c’est une obligation dans un leadership partenaire. Le sénateur Chris Murphy (DC) rencontrait les Haïtiens à Bridgeport CT, il y a (2) semaines de cela, en quête d’impressions intelligentes sur les relations à développer avec la Rép. D’Haïti. Le sénateur Murphy rappelons-le, siège sur la Commission des Affaires Etrangères héritée de Joe Liebermann. L’axe diplomatique est donc profondément concerné par l’arrivée de Laferrière occupant le deuxième siège à l’Académie Française. L’histoire dynamique Haïti-Canada interpelle la prochaine visite du président français à Washington. Car, celui-ci ne saura prétendre actualiser la dynamique diplomatique, s’il ignore le mode d’expression inclusif de ceux qui l’ont intégré par choix, à même le bassin des Amériques. Et, avec Laferrière, l’excellence du choix reconnu ?
Les Amériques Dany Laferrière sur le 2ième siège du 23 quai Conti, est une garantie pour la vitalité de l’OEA en Amérique, vice versa, sinon ce sera l’exclusion de l’effort, du mérite et de l’identité. C’est dans les faits, plus que dans le symbolisme, que la tribune des Nations Unies s’est ouverte pour accueillir officiellement Dany Laferrière, en salle d’assemblée, pour le Remenbrance sur l’esclavage. C’est un rappel des obligations en relations encore plus rapprochées, que le geste appelle le Sénat à Washington, l’OEA, et, la Maison Blanche, car loin du Tibet oriental, nous ne sommes pas le Dalaï-lama en confrontation culturelle avec la Chine mais à ce titre, un triple partenaire partageant des visions. J’ai personnellement soutenu la notion ‘’Haïti la Diplomatie d’abord’’, c’est plus qu’une occasion, c’est une opportunité.
C’est d’ailleurs pour le Canada, une réponse. La nomination en 2005, de la GG Michaëlle Jean, par le PM Paul Martin, n’a pas été un cadeau insensé, mais l’anticipation de la reconnaissance sur ce qui était à venir, en dehors de l’appréciation nationale canadienne. C’est l’histoire au même titre, d’un même chapitre, au début d’un important paragraphe. La Chef de la Délégation générale du Québec à New York, en l’occurrence, Madame Poirier en recevant Laferrière ce dimanche écoulé, accompagné des frères Joseph, n’a fait que confirmer ce puissant besoin diplomatique, par la voix du Québec. http://www.mrifce.gouv.qc.ca/portai…. Et, bravo, mille fois bravo aux gens de Lysée !
La vérité à l’épreuve Cependant, le Bureau de la Délégation générale du Québec à New York, l’Ambassade du Canada à Washington, le Consulat Général d’Haïti à New York, l’Ambassade d’Haïti à Washington, celle de la France à Washington, le Gouverneur de l’état de la Louisiane (Creole State), tout ce monde diplomatique devrait se mettre en branle pour organiser une tournée officielle d’urgence du nouvel élu de l’Académie Française en la personne de Dany Laferrière, de DC à la Nouvelle Orléans. Ce serait déjà une importante nouvelle part de promotion pour l’OIF et pour chaque partenaire de la Francophonie. Sinon, l’institution plus que tricentenaire, ni la culture, et pire, l’OIF seraient de la poudre aux yeux.
Je termine ici en disant que je crois mon opinion partagée avec l’éditrice. Il nous faut profiter de l’occasion pour exprimer cette essence francophone d’un triple chapeau : Haïti-Canada/Québec-France. L’Afrique, par extension et, solidairement avec la Suisse. L’OEA se trouve donc impliquée dans une obligation non écrite. La présence de Dany Laferrière à l’Académie Française est un fait nouveau. Il oblige un accueil. dan@danalbertini.com
Globalité de la langue A l’ONU c’était la proposition Bidault (Georges) soutenue par le vote haïtien. L’adoption du français comme langue de travail est devenu un fait en péril. A l’OEA, c’est carrément Haïti et le Canada, en plein Washington. La CARICOM, c’est exclusivement Haïti. Dany Laferrière à l’Académie Française à Paris, ne peut être un simple fait initiatique de culture, pour un homme. C’est une diplomatie majeure. L’Amérique des chaires d’études internationales sur le français doit le reconnaître. Washington doit l’accueillir, qu’on s’entende à DC. Pour l’OEA, c’est une obligation dans un leadership partenaire. Le sénateur Chris Murphy (DC) rencontrait les Haïtiens à Bridgeport CT, il y a (2) semaines de cela, en quête d’impressions intelligentes sur les relations à développer avec la Rép. D’Haïti. Le sénateur Murphy rappelons-le, siège sur la Commission des Affaires Etrangères héritée de Joe Liebermann. L’axe diplomatique est donc profondément concerné par l’arrivée de Laferrière occupant le deuxième siège à l’Académie Française. L’histoire dynamique Haïti-Canada interpelle la prochaine visite du président français à Washington. Car, celui-ci ne saura prétendre actualiser la dynamique diplomatique, s’il ignore le mode d’expression inclusif de ceux qui l’ont intégré par choix, à même le bassin des Amériques. Et, avec Laferrière, l’excellence du choix reconnu ?
Les Amériques Dany Laferrière sur le 2ième siège du 23 quai Conti, est une garantie pour la vitalité de l’OEA en Amérique, vice versa, sinon ce sera l’exclusion de l’effort, du mérite et de l’identité. C’est dans les faits, plus que dans le symbolisme, que la tribune des Nations Unies s’est ouverte pour accueillir officiellement Dany Laferrière, en salle d’assemblée, pour le Remenbrance sur l’esclavage. C’est un rappel des obligations en relations encore plus rapprochées, que le geste appelle le Sénat à Washington, l’OEA, et, la Maison Blanche, car loin du Tibet oriental, nous ne sommes pas le Dalaï-lama en confrontation culturelle avec la Chine mais à ce titre, un triple partenaire partageant des visions. J’ai personnellement soutenu la notion ‘’Haïti la Diplomatie d’abord’’, c’est plus qu’une occasion, c’est une opportunité.
C’est d’ailleurs pour le Canada, une réponse. La nomination en 2005, de la GG Michaëlle Jean, par le PM Paul Martin, n’a pas été un cadeau insensé, mais l’anticipation de la reconnaissance sur ce qui était à venir, en dehors de l’appréciation nationale canadienne. C’est l’histoire au même titre, d’un même chapitre, au début d’un important paragraphe. La Chef de la Délégation générale du Québec à New York, en l’occurrence, Madame Poirier en recevant Laferrière ce dimanche écoulé, accompagné des frères Joseph, n’a fait que confirmer ce puissant besoin diplomatique, par la voix du Québec. http://www.mrifce.gouv.qc.ca/portai…. Et, bravo, mille fois bravo aux gens de Lysée !
La vérité à l’épreuve Cependant, le Bureau de la Délégation générale du Québec à New York, l’Ambassade du Canada à Washington, le Consulat Général d’Haïti à New York, l’Ambassade d’Haïti à Washington, celle de la France à Washington, le Gouverneur de l’état de la Louisiane (Creole State), tout ce monde diplomatique devrait se mettre en branle pour organiser une tournée officielle d’urgence du nouvel élu de l’Académie Française en la personne de Dany Laferrière, de DC à la Nouvelle Orléans. Ce serait déjà une importante nouvelle part de promotion pour l’OIF et pour chaque partenaire de la Francophonie. Sinon, l’institution plus que tricentenaire, ni la culture, et pire, l’OIF seraient de la poudre aux yeux.
Je termine ici en disant que je crois mon opinion partagée avec l’éditrice. Il nous faut profiter de l’occasion pour exprimer cette essence francophone d’un triple chapeau : Haïti-Canada/Québec-France. L’Afrique, par extension et, solidairement avec la Suisse. L’OEA se trouve donc impliquée dans une obligation non écrite. La présence de Dany Laferrière à l’Académie Française est un fait nouveau. Il oblige un accueil. dan@danalbertini.com