Entre (). Quelle est la main cachée qui veut l’île entière sous sa domination ? Pourquoi la haine-1843 semble refaire surface exactement au moment où l’état semblait se renforcer par un développement insulaire de plus en plus partagé par un lien renforcé entre les deux républiques ? Nous constaterons après ce qui suit, une présence onusienne. Fermons les ().
Le réveil et les réformes espérés n’ont pas lieu Haïti se réveillera demain matin en 2014, soit exactement dix ans depuis que le gouvernement JBA perdait le pouvoir par ce que je craignais et, ai exprimé dans un article publié en 2001 (Journal PAMH) sur le Sommet des Amériques à Québec : Une rencontre au sommet, une nouvelle Amérique, une nation à la dérive. Je craignais la dérive du renvoi pervers. La rencontre au sommet épuisée, c’est le même pattern ôte-toi que je m’y mette. La nouvelle Amérique est devenue un dangereux nid d’espions qui profite aux entreprises américaines, aux dépens des autres. Question : la nation est-elle encore à la dérive, après treize ans ?
Voici ce que j’écrivais dans cet article (Journal PAMH), reproduit dans mon ouvrage ‘’Haïti 2001-2010 reconstruction d’après Nous’’ (P. 152), publié en 2010 : << Une nation à la dérive. Le Sommet des Amériques (Québec 2001) a été pour tous, une triste révélation. Haïti est classée avec le Nicaragua comme les deux pays les plus pauvres de cet hémisphère. Non parce que, dans le cas d’Haïti, nous manquons de ressources mais parce que les Haïtiens attendent l’intervention d’un casque bleu pour initier le dialogue entre eux. Une situation qui met l’état dans l’incapacité de négocier confortablement le financement du pays (une situation qui rend l’état faible) >>. Je poursuivais plus loin en point A : << Si le président est moins légitime qu’en 1990, cette opposition l’est encore moins pour se parachuter à la tête du pays (un départ prématuré en ce sens, d’Aristide pourrait faire basculer le pays dans un chaos infernal dont personne ne peut prévoir les conséquences). Le camp de la convergence devrait commencer par s’épurer en posant une véritable structure d’opposition…>>. L’ONU, le gouvernement ni l’opposition, ne sont légitimes en ce sens.
L’affirmation est aussi la réponse à une question vitale demeurée incertaine. La culture onusienne qui consiste à continuer la dévitalisation territoriale, ne sera jamais salutaire pour Haïti. Car, l’expertise appliquée ne se trouve pas à l’ONU. L’organisation est un subterfuge à l’occupation déguisée, organisé par un Conseil de Sécurité de lâches et de traîtres. Qui donne sa force au Conseil de Sécurité par la voie de l’Assemblée Générale, si ce n’est le NOUS global ! JBA l’a fait pour ses intérêts personnels mais a chuté. Et, ainsi de suite le pattern pathogène demeure par notre faute collective. Le gouvernement en place à Port-au-Prince est issu de cette contestation 2003-2004, et, a reproduit le pattern qui favorise la conteste des déchus. Mais, pour aller où ? En attendant la diplomatie haïtienne est enclavée en comptoir de service d’un sous-service onusien, d’une sous-section dite humanitaire, pour une GA qui incidemment, n’est aucunement souveraine. Nous ne pouvons regarder simplement la responsabilité sous l’angle internationale et gouvernementale. Quelle est l’expérimentation en laboratoire des hautes études internationales universitaires, en Haïti ? Existe-t-il une solution proposée sur la base d’une observation savante haïtienne ?
J’évoque une fois de plus ce même article de l’ouvrage précité (P. 154), où j’évoquais la nécessité pour le président Aristide, de redynamiser, de crédibiliser son gouvernement par l’intégration par exemple de Dany Laferrière au MAVHE. Les deux rives n’avaient encore compris, cette démarche que j’appelais : Haïti la diplomatie d’abord, avec des avantages tentaculaires conséquentes sur le long terme. Dany a su se montrer depuis comme un puissant symbole dynamique et un énergique ambassadeur de la culture haïtienne. Plus, d’une culture globalisée. C’eut été un plus pour nous à tout égard. Le président Préval non plus n’aurait compris, avec son spectre de chef d’état réducteur. Martelly/Lamothe ne sont plus brillants malgré certains efforts sporadiques inhabituels. Nous voici donc aujourd’hui avec Dany Laferrière à l’Académie Française, pour une Haïti sans vision. Le pays ne l’a vu venir, malgré l’aube, c’est-à-dire la présence de la télévision française peu avant, en Haïti. N’envisageons alors de génie, pour avoir anticipé une récupération avant les faits avérés. Les laboratoires d’analyses universitaire et médiatique, que dire de politique ou diplomatique, n’ont rien vu venir. Mais on chante Dany Laferrière sous tous les toits.
Poussons la barre encore vers le haut. J’ai par la même occasion, parlé du professeur Victor Benoit pour l’éducation nationale. Il ne moissonne en effet en politique partisane. Professeur de mathématiques en outre, l’état haïtien l’aura-t-il récupéré dans un centre de recherches scientifiques ou technologiques, par exemple en info-math puisque c’est un sujet d’exportation de haut savoir ? Gageons que si le Canada le récupérait, comme à l’époque de feu professeur Georges Anglade, le gouvernement à Port-au-Prince lui verrait une vertu pour lui accorder un titre à la ‘’Adonis’’. Y a-t-il un comité de recrutement pour la reconnaissance des valeurs, au niveau national, dans cet état ? D’un gouvernement à un autre ! Le spectre d’un Lamothe premier ministre plane sur toutes les sphères de compétences et d’expertises, pour son exclusivité et pour son seul intérêt. Ce qui ne nous mènera nulle part à titre de République. Nulle part que le lieu de JBA en 2001 et en 2003, plus loin, 13 ans plus tard.
Si nous prenons acte alors du virus de ‘’casque bleu onusien’’ qui affecte la République au point même d’une autre affectation qu’est le choléra curieusement dénoncé par les chercheurs de l’Université YALE aux Etats-Unis, la République n’offre encore aucun signe d’intégration de cette nouvelle Amérique, même après l’autre rencontre au sommet. De Maduro/Martelly/Medina. La question à savoir si la nation est à la dérive, trouvera sa réponse chez le voisin dominicain, chez le frère Maduro, chez les cousins du bassin de la Caraïbe, chez le gérant onusien. Mieux, chez JGB, chez Martelly. Chez l’intelligence médiatique haïtienne en Haïti. Chez, finalement, le directeur des recherches aux Hautes études internationales, si Lamothe ne s’installe pas à son bureau aussi, pour enseigner sa diplomatie. lovinsky2008@gmail.com
Le réveil et les réformes espérés n’ont pas lieu Haïti se réveillera demain matin en 2014, soit exactement dix ans depuis que le gouvernement JBA perdait le pouvoir par ce que je craignais et, ai exprimé dans un article publié en 2001 (Journal PAMH) sur le Sommet des Amériques à Québec : Une rencontre au sommet, une nouvelle Amérique, une nation à la dérive. Je craignais la dérive du renvoi pervers. La rencontre au sommet épuisée, c’est le même pattern ôte-toi que je m’y mette. La nouvelle Amérique est devenue un dangereux nid d’espions qui profite aux entreprises américaines, aux dépens des autres. Question : la nation est-elle encore à la dérive, après treize ans ?
Voici ce que j’écrivais dans cet article (Journal PAMH), reproduit dans mon ouvrage ‘’Haïti 2001-2010 reconstruction d’après Nous’’ (P. 152), publié en 2010 : << Une nation à la dérive. Le Sommet des Amériques (Québec 2001) a été pour tous, une triste révélation. Haïti est classée avec le Nicaragua comme les deux pays les plus pauvres de cet hémisphère. Non parce que, dans le cas d’Haïti, nous manquons de ressources mais parce que les Haïtiens attendent l’intervention d’un casque bleu pour initier le dialogue entre eux. Une situation qui met l’état dans l’incapacité de négocier confortablement le financement du pays (une situation qui rend l’état faible) >>. Je poursuivais plus loin en point A : << Si le président est moins légitime qu’en 1990, cette opposition l’est encore moins pour se parachuter à la tête du pays (un départ prématuré en ce sens, d’Aristide pourrait faire basculer le pays dans un chaos infernal dont personne ne peut prévoir les conséquences). Le camp de la convergence devrait commencer par s’épurer en posant une véritable structure d’opposition…>>. L’ONU, le gouvernement ni l’opposition, ne sont légitimes en ce sens.
L’affirmation est aussi la réponse à une question vitale demeurée incertaine. La culture onusienne qui consiste à continuer la dévitalisation territoriale, ne sera jamais salutaire pour Haïti. Car, l’expertise appliquée ne se trouve pas à l’ONU. L’organisation est un subterfuge à l’occupation déguisée, organisé par un Conseil de Sécurité de lâches et de traîtres. Qui donne sa force au Conseil de Sécurité par la voie de l’Assemblée Générale, si ce n’est le NOUS global ! JBA l’a fait pour ses intérêts personnels mais a chuté. Et, ainsi de suite le pattern pathogène demeure par notre faute collective. Le gouvernement en place à Port-au-Prince est issu de cette contestation 2003-2004, et, a reproduit le pattern qui favorise la conteste des déchus. Mais, pour aller où ? En attendant la diplomatie haïtienne est enclavée en comptoir de service d’un sous-service onusien, d’une sous-section dite humanitaire, pour une GA qui incidemment, n’est aucunement souveraine. Nous ne pouvons regarder simplement la responsabilité sous l’angle internationale et gouvernementale. Quelle est l’expérimentation en laboratoire des hautes études internationales universitaires, en Haïti ? Existe-t-il une solution proposée sur la base d’une observation savante haïtienne ?
J’évoque une fois de plus ce même article de l’ouvrage précité (P. 154), où j’évoquais la nécessité pour le président Aristide, de redynamiser, de crédibiliser son gouvernement par l’intégration par exemple de Dany Laferrière au MAVHE. Les deux rives n’avaient encore compris, cette démarche que j’appelais : Haïti la diplomatie d’abord, avec des avantages tentaculaires conséquentes sur le long terme. Dany a su se montrer depuis comme un puissant symbole dynamique et un énergique ambassadeur de la culture haïtienne. Plus, d’une culture globalisée. C’eut été un plus pour nous à tout égard. Le président Préval non plus n’aurait compris, avec son spectre de chef d’état réducteur. Martelly/Lamothe ne sont plus brillants malgré certains efforts sporadiques inhabituels. Nous voici donc aujourd’hui avec Dany Laferrière à l’Académie Française, pour une Haïti sans vision. Le pays ne l’a vu venir, malgré l’aube, c’est-à-dire la présence de la télévision française peu avant, en Haïti. N’envisageons alors de génie, pour avoir anticipé une récupération avant les faits avérés. Les laboratoires d’analyses universitaire et médiatique, que dire de politique ou diplomatique, n’ont rien vu venir. Mais on chante Dany Laferrière sous tous les toits.
Poussons la barre encore vers le haut. J’ai par la même occasion, parlé du professeur Victor Benoit pour l’éducation nationale. Il ne moissonne en effet en politique partisane. Professeur de mathématiques en outre, l’état haïtien l’aura-t-il récupéré dans un centre de recherches scientifiques ou technologiques, par exemple en info-math puisque c’est un sujet d’exportation de haut savoir ? Gageons que si le Canada le récupérait, comme à l’époque de feu professeur Georges Anglade, le gouvernement à Port-au-Prince lui verrait une vertu pour lui accorder un titre à la ‘’Adonis’’. Y a-t-il un comité de recrutement pour la reconnaissance des valeurs, au niveau national, dans cet état ? D’un gouvernement à un autre ! Le spectre d’un Lamothe premier ministre plane sur toutes les sphères de compétences et d’expertises, pour son exclusivité et pour son seul intérêt. Ce qui ne nous mènera nulle part à titre de République. Nulle part que le lieu de JBA en 2001 et en 2003, plus loin, 13 ans plus tard.
Si nous prenons acte alors du virus de ‘’casque bleu onusien’’ qui affecte la République au point même d’une autre affectation qu’est le choléra curieusement dénoncé par les chercheurs de l’Université YALE aux Etats-Unis, la République n’offre encore aucun signe d’intégration de cette nouvelle Amérique, même après l’autre rencontre au sommet. De Maduro/Martelly/Medina. La question à savoir si la nation est à la dérive, trouvera sa réponse chez le voisin dominicain, chez le frère Maduro, chez les cousins du bassin de la Caraïbe, chez le gérant onusien. Mieux, chez JGB, chez Martelly. Chez l’intelligence médiatique haïtienne en Haïti. Chez, finalement, le directeur des recherches aux Hautes études internationales, si Lamothe ne s’installe pas à son bureau aussi, pour enseigner sa diplomatie. lovinsky2008@gmail.com