Entre (). Québec, de plus en plus Marois pensant à Landry aux commandes politiques du BLOC, à Ottawa ? Gentille mais désespérée. Il n’y aurait de relève plus fraiche à cette école, tant que ça ? Même pas un Charlot qui passe le Bac au Bloc, après Paris ? La polémique Mourani vs Charte semble proposer un mot bien appliqué. Ce n’est pas infidélité mais, infertilité. Et, plus loin, la dégénérescence en bloc ? Fermons les ().
Condi Rice as next president ? (comme prochain président) Elle l’a déjà dit mais les temps changent. Alors, un NON ne pourra plus contenir les intérêts suprêmes de la nation. Envisager Condoleezza Rice, c’est engager la revitalisation du Parti Républicain aux prochaines élections présidentielles américaines ! L’Amérique ferait même des économies substantielles en prenant historiquement congé de la facture First Lady. Tous ses enfants ne mangent à leur faim, ni ne dorment sous un toit. Oublions cette fausse promesse d’OBAMACARE, il existe une Amérique experte qui sait répondre. Fort instruit de Policy, de la sécurité nationale, avec le parcours << Transformational Diplomacy >> assis sur de grandes compétences pédagogiques, l’art d’enseigner et se faire comprendre. Ce sont des atouts inestimables pour une femme qui peut redynamiser l’histoire américaine. Une femme présidente sans contrainte, c’est l’ouverture idéale pour un nouvel héritage exonéré des scandales d’un démocrate scandaleux, d’une famille scandalisée. Condoleezza Rice représenterait la sérénité et le besoin de sérénité, un modèle d’éducation pour une Amérique qui sait renaître, une Amérique qui sait se régénérer. Tout le monde gagnerait, sans distinction aucune. L’Amérique d’abord, l’économie, les relations internationales ensuite et, même Haïti gagnerait avec le Womens’s Democracy Network, un programme de l’IRI.
L’exaspération de Boehner est un signe vital de Républicains Si nous devons considérer le geste d’exaspération de Boehner, face aux manipulateurs du Tea Party, dans la dynamique politique américaine, nous devrions interpréter aussi l’attitude blasée de Barack Obama aux funérailles de Mandela, à Soweto. Le manque flagrant de protocole avec la première ministre danoise, Helle T. Schmidt et D. Cameron, est-il un signe de démission du président démocrate ? Evidemment il y aurait un chamboulement à Washington et même à la Maison Blanche en particulier. Qui serait avec Biden, à la vice-présidence, pour ne pas le nuire ailleurs ? Il y aurait fort à parier que ce pourrait être celle qui avait avoué avoir menti, sur l’affaire des tirs de snippers à son arrivée, sur l’aéroport de Tuzla (Bosnie) en 1996. Ce serait aussi l’occasion de la discorde au niveau de l’exécutif, car l’ambition siège sur deux rives, pour un mandat clairement démesuré. C’est en fait sans compter avec l’homme profond qu’est Joe Biden. Polémiste, déclaration surprise, mais adversaire coriace qui sait tromper la vigilance de l’autre. Ryan (Sen.) doit s’en rappeler aujourd’hui encore. La corde de discorde se situerait exactement à cette enseigne, Biden et Clinton ne s’entendront jamais, d’où la division qui profiterait ouvertement aux Républicains. A Condi Rice en particulier, comme candidate potentielle à la présidence. Son réalisme lui avait fait s’intégrer chez les Républicains. Boehner ne peut que gagner sur ce parcours.
Vigilance, savoir faire et connaissement La Chine est partenaire mais nous ne connaissons cette Chine qui ne s’ouvre à ses propres citoyens communistes. Bouddhistes. Ce serait un danger que de fournir à l’inconnu la clé du trésor, de son âme. Qui est d’ailleurs ce Chinois bouddhiste ? C’est en ce sens l’impératif de se chercher et de se réunir autour d’une candidature exceptionnelle pour un leadership fort. Pour une Amérique qui sait gagner, non pas celle d’un ancien président qui trompait sa femme, et, qui veut tromper la société par son ignorance. Après avoir reconnu sa position erronée sur le mariage, il voudrait nous faire croire dans une autre que l’on qualifierait d’affairiste politique. Nous avions déjà dit lors de la première campagne démocrate qui avait amené le candidat officiel Obama : No more legacy. Nous réitérons avec encore plus de conviction : no more Clinton legacy à la Maison Blanche. Condoleezza Rice candidate est en soi une garantie contre cette pathologie du mensonge.
En conclusion, l’alternance du pouvoir est-elle un besoin immédiat, après Obama ?
Le président Martelly a finalement eu sa poignée de main américaine en public. Occasion ? Aux funérailles de Mandela. La cavalerie rose n’a pas chanté de refrain pour célébrer. Pourquoi ? Le menu Obama était bien chargé en surprises : un dangereux schizophrène comme interprète, manque de protocole avec une autre femme, à côté de sa femme. La cerise, serrer la patte à Raoul Castro sans initier Kerry. Le degré d’importance est en dessous de la barre, à l’image du manque de protocole. C’est l’heure de changer les vieilles méthodes pour l’ère de confiance. Voyez, le portail gop.org présente << OBAMACARE is still broken >>, un slogan critique certes. Il faut encore plus d’action. Faites-le savoir. Une proposition. Un billet rassembleur qui inspire confiance : Rice/… ! lovinsky2008@gmail.com
Condi Rice as next president ? (comme prochain président) Elle l’a déjà dit mais les temps changent. Alors, un NON ne pourra plus contenir les intérêts suprêmes de la nation. Envisager Condoleezza Rice, c’est engager la revitalisation du Parti Républicain aux prochaines élections présidentielles américaines ! L’Amérique ferait même des économies substantielles en prenant historiquement congé de la facture First Lady. Tous ses enfants ne mangent à leur faim, ni ne dorment sous un toit. Oublions cette fausse promesse d’OBAMACARE, il existe une Amérique experte qui sait répondre. Fort instruit de Policy, de la sécurité nationale, avec le parcours << Transformational Diplomacy >> assis sur de grandes compétences pédagogiques, l’art d’enseigner et se faire comprendre. Ce sont des atouts inestimables pour une femme qui peut redynamiser l’histoire américaine. Une femme présidente sans contrainte, c’est l’ouverture idéale pour un nouvel héritage exonéré des scandales d’un démocrate scandaleux, d’une famille scandalisée. Condoleezza Rice représenterait la sérénité et le besoin de sérénité, un modèle d’éducation pour une Amérique qui sait renaître, une Amérique qui sait se régénérer. Tout le monde gagnerait, sans distinction aucune. L’Amérique d’abord, l’économie, les relations internationales ensuite et, même Haïti gagnerait avec le Womens’s Democracy Network, un programme de l’IRI.
L’exaspération de Boehner est un signe vital de Républicains Si nous devons considérer le geste d’exaspération de Boehner, face aux manipulateurs du Tea Party, dans la dynamique politique américaine, nous devrions interpréter aussi l’attitude blasée de Barack Obama aux funérailles de Mandela, à Soweto. Le manque flagrant de protocole avec la première ministre danoise, Helle T. Schmidt et D. Cameron, est-il un signe de démission du président démocrate ? Evidemment il y aurait un chamboulement à Washington et même à la Maison Blanche en particulier. Qui serait avec Biden, à la vice-présidence, pour ne pas le nuire ailleurs ? Il y aurait fort à parier que ce pourrait être celle qui avait avoué avoir menti, sur l’affaire des tirs de snippers à son arrivée, sur l’aéroport de Tuzla (Bosnie) en 1996. Ce serait aussi l’occasion de la discorde au niveau de l’exécutif, car l’ambition siège sur deux rives, pour un mandat clairement démesuré. C’est en fait sans compter avec l’homme profond qu’est Joe Biden. Polémiste, déclaration surprise, mais adversaire coriace qui sait tromper la vigilance de l’autre. Ryan (Sen.) doit s’en rappeler aujourd’hui encore. La corde de discorde se situerait exactement à cette enseigne, Biden et Clinton ne s’entendront jamais, d’où la division qui profiterait ouvertement aux Républicains. A Condi Rice en particulier, comme candidate potentielle à la présidence. Son réalisme lui avait fait s’intégrer chez les Républicains. Boehner ne peut que gagner sur ce parcours.
Vigilance, savoir faire et connaissement La Chine est partenaire mais nous ne connaissons cette Chine qui ne s’ouvre à ses propres citoyens communistes. Bouddhistes. Ce serait un danger que de fournir à l’inconnu la clé du trésor, de son âme. Qui est d’ailleurs ce Chinois bouddhiste ? C’est en ce sens l’impératif de se chercher et de se réunir autour d’une candidature exceptionnelle pour un leadership fort. Pour une Amérique qui sait gagner, non pas celle d’un ancien président qui trompait sa femme, et, qui veut tromper la société par son ignorance. Après avoir reconnu sa position erronée sur le mariage, il voudrait nous faire croire dans une autre que l’on qualifierait d’affairiste politique. Nous avions déjà dit lors de la première campagne démocrate qui avait amené le candidat officiel Obama : No more legacy. Nous réitérons avec encore plus de conviction : no more Clinton legacy à la Maison Blanche. Condoleezza Rice candidate est en soi une garantie contre cette pathologie du mensonge.
En conclusion, l’alternance du pouvoir est-elle un besoin immédiat, après Obama ?
Le président Martelly a finalement eu sa poignée de main américaine en public. Occasion ? Aux funérailles de Mandela. La cavalerie rose n’a pas chanté de refrain pour célébrer. Pourquoi ? Le menu Obama était bien chargé en surprises : un dangereux schizophrène comme interprète, manque de protocole avec une autre femme, à côté de sa femme. La cerise, serrer la patte à Raoul Castro sans initier Kerry. Le degré d’importance est en dessous de la barre, à l’image du manque de protocole. C’est l’heure de changer les vieilles méthodes pour l’ère de confiance. Voyez, le portail gop.org présente << OBAMACARE is still broken >>, un slogan critique certes. Il faut encore plus d’action. Faites-le savoir. Une proposition. Un billet rassembleur qui inspire confiance : Rice/… ! lovinsky2008@gmail.com